Ingénieuse Escroquerie

Invité

Fin 19eme, un prince russe rentre dans une grande bijouterie parisienne. 
Il demande à voir les plus belles pièces. 
On lui montre les bijoux les plus chers mais rien ne lui plait. Il insiste : 
« Vous devez bien avoir des pièces exceptionnelles dans l’arrière boutique ? » 
Et là on lui montre des bijoux d’une grande beauté. 
Il tombe en admiration devant une boucle d’oreille, vraiment magnifique. 
« C’est celle-ci que je veux ! » 
« Prince, rétorque le vendeur, elle vaut une petite fortune. » 
« Le prix n’a pas d’importance, c’est pour la femme que j’aime ; mais j’aimerai beaucoup que vous me trouviez la deuxième qui manque. » 
« On fera le nécessaire, vous avez ma parole » lui répond le vendeur. 
Les semaines passent et on contacte le prince : 
« On a pu acquérir la seconde boucle d’oreille par un de nos correspondants à Amsterdam,  par contre on l’a achetée trois fois le prix ! » 
« Très bien mais vous pouvez la garder, répond le prince, c’est moi qui l’ai vendu » ...

Bonjour Danielle,

Il n'est pas facile d'être vendeur.....tant qu'une vente n'est pas complétée, j'entends par là que l'argent ait été effectivement versé dans le compte de la bijouterie.......on peut s'attendre à mille et un sénarios faisant que la vente puisse être un échec.

Heureusement en général tout se passe bien.....quand même.

Merci de cette histoire......elle fait réfléchir.

Belle journée.

Michel Zim
sunny

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Tout ce qui vaut la peine d'être fait, vaut la peine d'être bien fait.

Messages : 1064 Date d'inscription : 20/08/2009

Fin 19ième.
Pour sa riche maîtresse, une femme de chambre rentre dans une grande bijouterie parisienne pour acheter une boucle d’oreille.
On lui montre de très belles boucles d’oreilles mais elles se vendent toutes par 2.
Elle insiste: 
« Vous devez bien en avoir une dans l’arrière boutique ? » 
Et là on lui montre une boucle d’oreille d’une très, très grande beauté. 
Elle tombe en admiration devant la boucle d’oreille, vraiment magnifique. 
« C’est celle-ci que ma maîtresse voudra ! » 
« Mademoiselle, rétorque le vendeur, la paire vaudrait une petite fortune et d’ailleurs que fera votre maîtresse d'une boucle d’oreille ? » 
« Le prix n’a pas d’importance et comme il n’y en a qu’une vous la ferez au quart du prix. » Répond la femme de chambre.
« Le vendeur lui demande pourquoi le quart et non la moitié du prix ? »
La moitié parce qu’il n’y en a qu’une, oui je comprends, mais le quart car, comme vous le dites si bien, « que faire d’une boucle d’oreille » ?
Le vendeur perplexe ne sachant que répondre tombe d’accord pour le quart du prix !
L’affaire conclue il ne peut s’empêcher de demander ce que la dame fera d’une boucle d’oreille ?
Ma maîtresse n’a qu’une oreille lui répondit-elle !