Restauration pied à coulisse

Il y a quelque temps, j'ai eu l'occasion de récupéré plein de "ferraille" du fond du jardin. Ne vous trompez pas, quand je dis ferraille c'est avec amour et tendresse !
Depuis je nettoie, je déroche, voir je sable..... mais je séchè sur 2 choses.
Dans les découvertes, j'ai trouvé 2 pieds à coulisse.
Ils étaient bloqués par la corrosion et plus rien de visibles.
Après un tour à l'institut des matériaux et un passage sous microbilles de verre, ils ont retrouvés un aspect "propre" et fonctionne. Je n'ai pas osé les sable avec ma sableuse artisanale qui décape .... trop... pour ce boulot là.
Mais il se passe ce que je craignais, les échelles sont quasi invisibles.



Est ce que vous auriez une idée pour récupérer une lecture possible ou refaire le "noir" des échelles sur les verniers et les corps .
Le flash de la photo fait ressortir les inscriptions. En utilisation normale, c'est quasiment impossible de lire la côte mesurée.

Je suppose par les traces restantes de "cratères" qu'ils étaient très piqués quand tu les as récupérés.
Donc, n'aie aucun remors.
Je tente une réponse, car j'aime bien récupérer de vieux outils (ou outils vénérables) et j'aurai à traiter le m^eme genre de problème. Je me dis que je tenterai de passer sur la zone gravée un produit noir (peinture, encre de chine, gomme laque teintée ?) et de frotter avec un cabron à grain fin (500 ou plus), voire avec un cabron bois (latte de bois dur à grain fin et à face bien plane, et au moment ou l'enduit noir est sec sans ^etre encore dur.
Si le résultat n'est pas garanti, au moins cela ne va pas endommager ces pieds. L'idée est de décaper par frottement léger la "peinture" aux endroits plats et de la laisser dans les creux.

Pour les outils que je restaure ou rafistole, je commence souvent le travail à la brosse laiton ou acier à fils très fins, puis selon les cas, au cabron à grain fin, au disque de feutre et p^ate à polir.

J'ai astiqué récemment un pied à coulisse terni donc moins lisible, mais pas piqué, avec une brosette poils de chèvre et le la p^ate Luxor orange. Il est maintenant mieux lisible.

oui je pense un truc tout con ..;trouver du gun-blu ou de la patine de chez coockson ...la passer au pinceau laisser sécher 24 heure au moins ou douze ..;bon je sais pas sur de la "" ferraille " (en tout bien tout honneur " et ensuite un papier émeri très fin enlever ce qui est sur le plat et apparaitront les graduations ...je sue et je bodore !

Pour préparer, ce chantier et d'autres, j'ai fabriqué un "marbre" léger à partir d'une tôle aluminium de Plancast +, en fait, un 5083 surfacé et détensionné.
je pensais effectivement passé un produit sur le pied et le frotté sur le marbre.
Et du coup, qu'elle produit utilisé pour le "contraste" et quoi mettre entre le marbre et le pied pour éliminer le surplus.

J'ai un début de réponse grâce à vous.
J'ai découvert le terme cabron, faut que je m'instruise sur le sujet.

Contrairement à ce que les Ibères penseraient , cabron ici n'est pas une insulte ...mais un outil ! un porte émeri facile à fabriquer ..

Il suffit de trouver des baguette de bois triangle de petits formats genre 1.5 ou moins de coté ..

De prendre une feuille ou plusieurs feuilles de grains différents de papier émeri pour carrosserie de voiture !

De l'enrouler autour de la baguette coupée à la longueur de la feuille ..sur la moitié de la feuille ,et d'enrouler un morceau de scotch pour que le papier ne glisse pas de trop !

Bon il en existe vendu chez les fournisseurs de bijouterie ,mais c'est très facile à fabriquer les miens doivent avoir trente ans ..

On peut aussi utiliser de la baguette plate de 2x1x la longueur de la feuille d'émeri ..

Demain je ferais une photo si tu veux !

Mais je ne pense pas que tu es besoin d'un marbre ..je pense aussi que tu peux utiliser du perchlo ou même certainement de l'eau de javel pour révéler tes graduations ...fais un essai !

Eau de javel, ça coute rien et je peux tenter, le perchlo, faut que j'en trouve, question con, mais c'est quoi le vrai nom ???

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Perchlorure de fer, chlorure ferrique ou chlorure de fer (III), mais le nom le plus utilisé en droguerie est perchlorure de fer.