Banc à étirer ou banc d'orfèvre - Musée National de la Renaissance

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Bonjour Amétrin,

Merci pour ce lien,

Plusieurs vidéos à voir avec de superbes documents en couleur.

Belle journée.

Michel Zim

Bonsoir !!
Merci, merci !!! C'est beau, bien expliqué (et c'est pas trop long lol)

Artisanalement

Salut !

Merci Amétrin , c'est une belle trouvaille !

Aller on cherche,
Qui va trouver a quel utilisation est destiné les 2 tambours a freins logés sous le banc ?

Bonjour Loulive,

Peut être qu'ils servaient ( pas nécessairement les deux à la fois) à bloquer ( tenir ) une extrémité d'un fil recuit dont l'autre extrémité était tenue par la pince pour le tendre fortement par le jeu de la manivelle ( levier très puissant ) et ainsi produire du fil parfaitement droit de gros diamètre et de longueur plus que respectable ( 4 mètres ).....comme on le fait nous même avec deux pinces pour tendre du fil qui servira à faire des griffes parfaitement droites.

Cela n'est qu'une hypothèse.....

Je pense que si nous pouvions à plusieurs bijoutiers-joailliers examiner sur place ce banc à étirer, de très près, nous pourrions trouver des indices nous permettant de trouver la solution.

À bientôt...

À suivre.......voilà une énigme intérressante....

Belle soirée.

Michel Zim

Voici le texte parlant de ce mystère:

À chaque extrémité du banc est installé, dans une cavité, un enrouleur à sangle de cuir, comportant deux cylindres de freinage, chacun freiné par deux mâchoires métalliques dont l’écartement est contrôlé par un système vis-écrous à pas contraires.
Ces vis sont actionnées de l’extérieur du banc. Chacune des cavités communique avec le plan inférieur du banc par un volume caché sous une trappe rabattable et avec le plan supérieur par un puits tronconique. Ce dispositif difficile à identifier par les spécialistes n'a pas dévoilé les secrets de son usage.

Déjà il semble évident que les freins sur les tambour sont ici pour contrôler le déroulement et non l enroulement

Évidement sur place non trouverions beaucoup plus d indices.

après avoir regardé plusieurs fois les différentes videos et écouté les commentaires,
je commence a pense qu il s agit d un système qui se voulait discret.

Il faudrait étudier la psychologie du fabricant et a qui il dévoue ses connaissances techniques avant la construction du banc.
Celui ci d après les commentaires ne c est mis d accord pour la fabrication du dit banc qu après une dizaines d années de négociations.
il y a dú y avoir un changement politique ou économique.
Je pense que là on pourrait déjà trouver quelques important indices sur l utilisation des tambours.

Bonsoir Loulive,

Pour continuer dans la même hypothèse que j'ai évoqué, on pourrait penser que du fil recuit enroulé sur de grande longueur sur ces rouleaux ( pouvant être bloqué ), pour être alors tendu par section de 4 mêtres, et coupé à chaque opération qui serait alors à repéter...jsuqu'à ce que la réserve de fil soit épuisée.

Je ne suis pas certain qu'il y avait une intention de cacher une opération...peut être simplement profiter du volume disponible.

Le porte ouvrante en dessous serait alors uniquement pour récupérer du métal en cas de casse..ou pour raison d'entretien..

À suivre...super intéressant...

belle fin de soirée...

Michel Zim

chaque extrémité du banc est installé, dans une cavité, un enrouleur à sangle de cuir, comportant deux cylindres de freinage, chacun freiné par deux mâchoires métalliques dont l’écartement est contrôlé par un système vis-écrous à pas contraires.
Ces vis sont actionnées de l’extérieur du banc. Chacune des cavités communique avec le plan inférieur du banc par un volume caché sous une trappe rabattable et avec le plan supérieur par un puits tronconique. Ce dispositif difficile à identifier par les spécialistes n'a pas dévoilé les secrets de son usage.


bonsoir bonne énigme et si c'est deux frain étai tous bêtement la pour prévenir la fin du fil ou pour éviter que le file arrive a la fin !! car on c est tous que du fil tirer et bien tendu peu revenir dans le visage !! imaginer la douleur!!!!
je di sa je suis juste amouroux des outils

Dans les différentes vidéos présentées sur le site on peux voir que si ils avaient a faire de grandes longueurs ils utilisaient d autres tambours sur des étriers devant et derrière la filière.

Je pense que ce système caché servait a faire des lantures pour arnaquer le client qui regardé sont fil d or se faire tréfiler.

Un vieux principe utilisé quand on veux fabriqué de la grosse chaine creuse torsadé ou non.
On tréfile une charnière avec une âme de cuivre qui est ensuite dissoute dans de l acide nitrique par de petits trous réaliser dans le bijou fini. Les trous sont alors discrètement rebouchés avant le polissage final.