sujet sur les diamants de synthése

In a recent article, “Lab-created Diamonds: Where to Go from Here”, diamond analyst Paul Zimnisky, analyses the fast development of synthetic, or man-made diamonds.

Zimnisky begins by explaining that, though the technology of lab-made diamonds has existed since the 1950s, the first engagement-ring-quality equivalent hit the market only about five years ago. In recent years, he says, companies have invested “an unprecedented amount of capital” in advancing lab-created diamond production technology.
The success or failure of lab-created diamond jewelry, he claims, is dependent on several factors: branding and marketing, production economics, consumer perception of value, and underlying secular demand for diamond jewelry.

Branding and Marketing

Many consumers, Zimnisky says, still confuse lab-created diamonds with diamond simulants like moissanite, cubic zirconia and white sapphire”.

The lab-created diamond industry, he says, can take advantage of two factors: the ethical sourcing of the stones, as well as unique branding for a younger, “high-tech” demographic.

Production Economics

The lab-created industry’s primarily edge over the natural equivalent, Zimnisky says, is pricing. Currently, lab-created production is greatly focused on smaller, lower-quality stones, which trade “at significant discount to naturals”. However, most stones in popular bridal-sizes are currently selling for about a 15-20% discount to natural equivalents – meaning that the relative discount is still far from that of other lab-created gems, such as lab-created rubies, emeralds, and sapphires.

Consumer Perception of Value

Perhaps the biggest challenge for the lab-created industry is selling a diamond that “arguably lacks resale value”, Zimnisky claims. The supply of lab-created stones is theoretically unlimited and in Asian cultures in particular, “the perceived intrinsic value of jewelry is perhaps the most significant component of the purchase decision”.
Since China and India being the two fastest-growing diamond jewelry markets, the lack of intrinsic value of lab-created diamonds could be “a particularly challenging factor for the industry”.

Secular Demand for Diamond Jewelry

In recent years diamond demand growth has been affected by declining marriage rates and by younger generation’s “growing preference for discretionary spending on experiences over material possessions”.

The lab-created diamond industry, Zimnisky says, can capitalize on these trends “by selling the idea that a lower priced alternative to natural diamonds allows for owning a diamond while still leaving discretionary spending for experienced-based purchases”

Dans un article récent intitulé "Diamonds créés par laboratoire: Où aller d'ici", l'analyste du diamant Paul Zimnisky, analyse le développement rapide des diamants synthétiques ou artificiels.

Zimnisky commence par expliquer que, bien que la technologie des diamants fabriqués en laboratoire existe depuis les années 1950, le premier équivalent qualité de l'anneau de fiançaire a frappé le marché il y a environ cinq ans environ. Ces dernières années, dit-il, les entreprises ont investi «une capitale sans précédent» dans l'avancement de la technologie de production de diamant créée par un laboratoire.
Le succès ou l'échec des bijoux en diamant créés par laboratoire, affirme-t-il, dépend de plusieurs facteurs: la marque et le marketing, l'économie de la production, la perception de la valeur du consommateur et la demande séculaire sous-jacente des bijoux en diamant.

Branding and Marketing

Beaucoup de consommateurs, dit Zimnisky, confondent toujours les diamants créés par des laboratoires avec des simulants de diamant comme le moissanite, la zircone cubique et le saphir blanc ".

L'industrie du diamant créée par un laboratoire, dit-il, peut tirer parti de deux facteurs: l'approvisionnement éthique des pierres, ainsi que la marque unique pour une population démographique plus jeune et «high-tech».

Economie de la production

L'industrie du laboratoire a créé l'avant-garde de l'équivalent naturel, dit Zimnisky, selon le prix. À l'heure actuelle, la production créée en laboratoire est fortement axée sur des pierres plus petites et de moindre qualité, qui commercialisent «des réductions importantes pour les produits naturels». Cependant, la plupart des pierres dans les tailles de mariée populaires se vendent actuellement pour une réduction de 15 à 20% des équivalents naturels, ce qui signifie que la réduction relative est encore loin de celle des autres gemmes créées en laboratoire, comme les rubis créés en laboratoire, les émeraudes, et les saphirs.

Perception de valeur du consommateur

Peut-être le plus grand défi pour l'industrie créée par un laboratoire est de vendre un diamant qui «sans doute manque de valeur de revente», prétend Zimnisky. L'offre de pierres créées en laboratoire est théoriquement illimitée et, en particulier, dans les cultures asiatiques, «la valeur intrinsèque perçue des bijoux est peut-être la composante la plus importante de la décision d'achat».
Étant donné que la Chine et l'Inde étant les deux marchés de bijoux en diamant à croissance rapide, le manque de valeur intrinsèque des diamants créés par un laboratoire pourrait être «un facteur particulièrement difficile pour l'industrie».

Demandes séculières pour les bijoux de diamants

Au cours des dernières années, la croissance de la demande de diamants a été affectée par la baisse des taux de mariage et par la «préférence croissante des dépenses discrétionnaires pour les expériences sur les biens matériels».

L'industrie du diamant créée par un laboratoire, dit Zimnisky, peut capitaliser sur ces tendances "en vendant l'idée qu'une alternative moins coûteuse aux diamants naturels permet de posséder un diamant tout en laissant des dépenses discrétionnaires pour les achats expérimentés"