Bonjour,
Je ne me sens aucunement agressé et je n'agresse volontairement personne, même s'il m'arrive d'aiguillonner un peu.
Cela à amener Jacques à faire une description rationnelle du fameux livre et donc mon but a été atteint. Rassurez-vous
Si j'ai insisté lourdement sur le manuel d'apprentissage du bijoutier joaillier, c'est pour que l'acheteur sache bien ce qu'il va acheter.
Parce que les propos en début du post pouvait amener à un achat malheureux, car même chez les fournisseurs de bijouterie on se garde bien de préciser que c'est un support de cours et non un manuel de techniques.
Ametrin
Il existe des livres plus contemporains, qui ne sont le fruit que de la volonté des éditeurs et arborant des noms ronflants, sans parler des techniques décrites qui n'ont parfois que peu de choses à voir avec la "vraie" bijouterieTu as entièrement raison là-dessus, c'est pour cela que j'invite les possesseurs de livres à donner leur avis critique.
C'est une excellente chose et c'est d'ailleurs une pratique courante en université qui permet aux étudiants d'aller directement sur les ouvrages susceptibles de les intéresser sans perdre de temps à lire toute une bibliothèque !!!
Un livre est un livre et chacun y trouve ce qu'il veut bien y trouver. Je pourrais nuancer mon propos en disant qu'un livre d'un intérêt médiocre, reste quand même intéressant, dépendant du prix que l'on a payé.... Un fichier .pdf ne coûte rien, pourquoi le détruire en le mettant à la corbeilleIl faut arréter de sacraliser les livres.
Dans nos sociétés quand on détruit un livre c'est presque un crime.
Un livre, c'est un livre point, c'est du papier.
Quand ta voiture ne te convient plus, tu la revends ou tu l'envoies à la casse. Et bien un livre c'est la même chose.
Et inutile de prendre l'argument style "patrimoine immatériel ou intellectuel" pour justifier du sacrilège.
Une voiture aussi c'est de la matière grise, de l'investissement humain, de la sueur et parfois de la douleur. Et pourtant quand elle est morte on l'envoie à la casse sans état d'âme.
Que des exemplaires de livres "importants" soient conservés et transmis de génération en génération je suis d'accord. Pour les autres, chacun est libre d'en faire ce qu'il veut.
La vérité sur mon autodafé fut que ma biblothèque a dû passer d'une centaine d'ouvrages à 20.
Donc on va à l'essentiel et cet essentiel fut de garder ce qui était important pour moi.
J'ai eu le temps de vendre des livres importants comme la bijouterie du 19 e siècle de VEVER.
Mais à l'heure du déménagement, j'ai jeté ce qui avait peu d'intérêt.
Cet incident dans ma vie n'a eut aucune influence sur l'avis que je porte au manuel de bijoutier joaillier.
Ce fut un mauvais achat parce qu'il ne correspondait pas à ce dont j'avais besoin.
Et si ce fut un mauvais achat, c'est parce que de partout on prétend qu'il est indispensable au débutant comme au professionnel averti. Au lieu de dire aux élèves et aux maîtres d'apprentissage.
Les éditeurs et les revendeurs font volontairement passer un support de cours pour un manuel technique afin de l'écouler.Voilà le fond du problème et la raison de mes propos véhéments pour démystifier cet ouvrage et rétablir la vérité.
Excusez de la longueur, c'est mon dernier post sur le sujet, promis.
Bonne journée à tous et à toutes
Emmanuel